Histoire de survivre à la météo calamiteuse de cet été, vous pouvez jeter un œil à la nouvelle série de science fiction de Netflix : « Another Life ».

Another Life, l’histoire…

Alors qu’un OVNI s’est posé sur la terre sans donner aucun signe de communication, une équipe de spationautes est envoyée dans l’espace pour tenter de comprendre ce qui se passe et voir si l’humanité est en danger. Le vaisseau et son équipage vivront alors des aventures toutes plus dangereuses les unes que les autres. Parallèlement, des scientifiques restés sur terre tentent d’entrer en contact avec l’objet extraterrestre.

Another Life est LA série des cliffhangers ! (suspens qui se produit à la fin de l’épisode afin de créer une forte attente). C’est bien simple, chaque épisode se termine par un événement inattendu qui ne nous donne qu’une envie : Connaître la suite.

Another Life fait son job de divertissement, c’est évident. Par contre il ne faut pas trop lui en demander côté vraisemblance ou originalité. Les astronautes envoyés sauver l’humanité ont 22 ans en moyenne et passent leur temps à papoter comme des grands-mères autour de leur thé. On a droit à une mutinerie dès le premier épisode et à partir de là cela ne s’arrête plus ! Virus extraterrestre, meurtre, créatures, balades sur une planète errante… Les créateurs ne reculent devant rien pour nous divertir. D’ailleurs la phrase qu’on entend le plus est « comment avons-nous pu passer à côté de ça », décliné à l’envi pour une planète qui apparaît, une avarie moteur ou un immense trou noir que les meilleurs spécialistes terriens n’ont même pas vu. On justifie comme on peut le rebondissement.

Par contre, côté féminisme Another Life est parfaite ! Madame part sauver la planète pendant que son mari reste sur terre s’occuper de la petite, chacune des spationautes est une femme de caractère qui n’a rien à envier en caractère ou compétences à ses collègues masculins.

A regarder sans autre attente que de passer un moment sans prise de tête, à sursauter à chaque minute la tête cachée dans les mains de peur. Un chouette moment donc !